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Méssages de la vie

28 novembre 2014

ÉCOUTER

Dieu n'as-t-il pas dit dans le premier des commandement: TU NE TUERAS POINT?

Pourquoi tuez vous alors que Dieu vous a INTERDIT de faire ces choses?

 

Vous ne respectez pas la vie que Dieu a créer, car prendre une vie, c'est tuer, et c'est contre le commandement de Dieu.

Pour ce qui est du deuxième commandement: TU AIMERAS TON PROCHAIN COMME TOI MÊME?

 

Aimez vous votre prochain, quand vous tués?

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13 mars 2013

La vrai prière

Il est de mon devoir de vous dire une chose: Quand vous allez à l'église, ce n'est pas dans ce lieu que vous obtiendrez une entente de la part de Dieu?

 

Voici cependant ce que dit Dieu sur le repas du Seigneur?

CORINTHIENS, 11, 12

                                                                             Sur la manière de célébrer le repas du Seigneur

En donnant cet avertissement, ce que je ne loue point, c'est que vous vous assemblez, non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires. Et d'abord, j'apprends que, lorsque vous vous réunissiez en assemblée, il y a parmi vous, des divisions, et je le crois en partie, car il faut qu'il y ait aussi des sectes parmis vous, afin que ceux qui sont  approuvés soient reconnus comme tels au milieu de vous. Lors donc que vous vous réunissiez, ce n'est pas manger le repas du Seigneur; car quand on ce met à table, chacun commence par prendre son propre repas, et l'un a faim, tandis que l'autre est ivre. N'avez-vous pas des maisons pour y manger et boire? Ou méprisez-vous l'Église de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n'on rien? Que vous dirais-je? Vous louerai-je? En cela je ne vous loue point.

Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâce, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faite ceci en mémoire de moi, De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toute les fois que vous mangerez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.

 

Et ce n'est pas ce que les prêtres vous disent, car il ne vous disent que le passage qui leurs intérresse? Voici ce qu'il disent, et vous cachent le début et la fin?

le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré,
prit du pain, et, après avoir rendu grâce, le rompit, et dit:
Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faite ceci en mémoire de moi,
De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang;
faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.

VOYEZ-VOUS LA DIFFÉRENCE?

9 janvier 2012

Les éléments de la création

(1) Après avoir exploré l’univers, nous avons pu étudier la Terre que nous connaissons bien désormais, car notre cheminement au sein de l’activité de la matière nous a mis en contact avec le réel. Nous avons ainsi observé l’essentiel des éléments qui constituent les mondes de l’univers. Et après avoir défini les ères terrestres, nous nous sommes rapprochés le plus possible de la naissance originelle des hommes. Nous avons vu que le principe d’existence (qui est l’apport et la dépense de la force qui crée et renouvelle) oblige que l’humanité soit composée d’autant d’hommes que de femmes. Nous savons aussi qu’il faut l’eau et son cycle qui ne peut se faire qu’à la bonne distance du Soleil, et que l’activité électromagnétique est aussi la force unique qui apporte d’en haut les informations de tout ce qui existe dans l’univers, formant le souffle de Dieu.

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Les conditions de vie et leurs fluctuations

(2) On sait maintenant que tous les astres chauds produisent de l’eau. Et les explosions atmosphériques nous ont montré que l’eau projetée dans l’espace par les étoiles qui s’éclairent reste en partie sur leurs planètes. La Terre a, par ce biais, reçu beaucoup d’eau du Soleil qui, lui-même, en a reçu en abondance de son étoile mère ; et ainsi de suite. C’est pourquoi une partie de l’eau que nous buvons et avec laquelle nous sommes faits, a pu voyager longuement dans la Galaxie avant de s’ajouter à celle produite par le Soleil, qui féconda la Terre.

(3) L’eau est le seul corps qui renferme tous les éléments matériels de l’existence, et qui concentre les informations de l’univers produisant des organismes vivants. Toutefois, à ces éléments vitaux, que j’appelle conditions de vie, s’ajoutent aussi la magnétosphère, la température du sol, ainsi que la chaleur et la lumière du Soleil. Le climat local et les saisons en font également partie, de même que la situation géographique, le relief et l’irrigation des pays. A cela, s’ajoutent les êtres déjà créés qui enrichissent d’autant les éléments de leur présence et dont dépend l’existence des créatures suivantes. Et tout ceci concerne l’ère et le moment de l’ère où tout diffère du moment précédent. D’où la grande diversité des êtres et des mondes qui nous ont devancés.

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Variations et stabilisation des conditions de vie

(4) Cette nouvelle image des va-et-vient de la Terre, nous montre encore une fois ce que furent les mondes antérieurs. En fonction des déplacements, les conditions de vie des espèces apparurent, crûrent et devinrent maximales ; puis régressèrent, s’amenuisèrent et disparurent au sortir de la région favorable. Les êtres apparurent et disparurent de la même façon ; car, leurs conditions de vie s’en allant, ils s’en allaient avec elles. Cela fut jusque dans le secondaire où, vers la fin de cette ère, l’arrivée de la Lune interrompit momentanément toute existence. Dans le tertiaire, il y a aussi apparition et croissance des conditions de vie, mais cette fois elles demeurent, en raison de la stabilisation de la Terre qui marque le début du quaternaire dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui.

(5) Ces éléments primordiaux à partir desquels les êtres trouvent existence, furent tout d’abord minimes dans le PRÉCAMBRIEN qui fut l’ère dans laquelle la Terre se couvrit entièrement d’eau en évoluant longtemps dans le nuage solaire. Il n’y avait que peu de lumière et peu de points chauds en ces temps-là. C’est pourquoi les eaux ne produisirent que quelques rares espèces. Dans le PRIMAIRE, où les terres émergèrent, les conditions de vie se développèrent considérablement, tout comme elles le firent dans le SECONDAIRE, puis davantage dans le TERTIAIRE, et encore plus dans le QUATERNAIRE où elles parvinrent à leur apogée, au comble de ce qu’elles peuvent être actuellement. Il n’y a donc pas eu régression mais progression et enrichissement des conditions de vie jusqu’à présent, et créations de mondes conséquents.

(6) Dans le PRIMAIRE, remarquons sur la figure que les conditions d’existence commencèrent à faire leur apparition à l’équateur d’abord, qui fut la partie la première exposée à la chaleur solaire, et qu’elles s’étendirent ensuite jusqu’aux pôles en raison du déplacement de la planète. C’est évidemment aux pôles qu’elles disparurent en dernier, à cause de la chaleur solaire qui ne cessait de croître en fin de cette ère. Ainsi, la luxuriante végétation et les êtres apparurent en premier à l’équateur, puis sur l’ensemble des deux hémisphères, jusqu’aux pôles où elles s’éteignirent en dernier.

(7) Dans le SECONDAIRE le mouvement fut inversé, parce que la Terre sortit chaude de son séjour près du Soleil. Les nouvelles conditions de vie et les êtres correspondants apparurent donc en premier aux pôles, qui restèrent longtemps dépourvus de toute glace, et non à l’équateur où la chaleur solaire était trop élevée. C’est pourquoi les reptiles (les dinosaures) de cette ère ne purent se rapprocher de l’équateur qu’en dernier, lorsque la Terre était suffisamment refroidie ; ce qui signifie dans la deuxième période du secondaire et juste avant l’arrivée de la Lune. Pour ces raisons, on remarquera que les fossiles des dinosaures figurent peu ou pas, dans les régions équatoriales. D’autre part et comme nous l’avons dit, au moment de l’interception de la Lune, ils étaient dans la période de leur extinction. Beaucoup d’entre eux avaient déjà disparu.

(8) Dans le TERTIAIRE, le mouvement d’apparition des espèces s’inversa encore par rapport à l’ère précédente, parce que la Terre sortit froide de la dernière période de grande glaciation. Les êtres réapparurent forcément à l’équateur, (comme dans le primaire) puis progressivement sous toutes les latitudes en allant vers les régions polaires où la calotte glaciaire régressait d’année en année. Dans cette ère tertiaire, les conditions de vie ne disparurent pas. Au contraire, elles ne cessèrent de s’enrichir grâce à la stabilisation de la Terre qui se fit à la fin de cette ère. Cette stabilité fut le commencement du QUATERNAIRE, l’ère propice aux conditions de vie humaines. Et les hommes furent créés.

Les êtres créés en réponse

(9) Après le minéral (qui fut la formation de la Terre) vient le végétal, puis l’animal, et en dernier l’humain pour lequel tout est préparé. Car il va de soi que les conditions de vie des êtres apparaissent avant que ceux-ci soient créés en réponse. On ne peut en effet imaginer les herbivores, par exemple, apparaître avant la végétation dont ils se nourrissent, sinon il aurait fallu qu’ils mangent des pierres pendant un certain temps... Les hommes durent aussi attendre leur tour pour être formés dans l’ordre de la création, qui ne peut être changé. Cet ordre est celui des règnes qui furent dans les ères, et montrés par le serpent.

(10) Nous savons maintenant que les êtres terrestres ne sont pas des êtres marins qui sortirent jadis de la mer, mais que c’est l’eau seule qui le fit et qui arrosa toutes les terres émergées par le biais des pluies. Elle forma ainsi les ruisseaux, les rivières, les fleuves, les lacs, les marais, les étangs et tous les lieux humides propices à la vie. C’est pourquoi, avec les minéraux, l’eau produisit les êtres marins d’un côté et les êtres terrestres de l’autre. Chaque espèce fut formée selon son ère, dans son milieu, et en fonction de ce qu’il y avait. Aucune d’entre elles ne fut formée à partir de rien, ni avec ce qui n’existait pas... toutes naquirent à partir de l’eau et en réponse à ce qui existait en leur temps et que la Terre offrait généreusement avec le Soleil.

(11) Vint d’abord le milieu, puis la créature qui fait un avec lui. Et l’on peut observer aujourd’hui que la fin du précambrien, la fin du primaire, la fin du secondaire, ainsi que le jour de l’arrivée de la Lune, furent tous des barrages infranchissables pour les êtres vivants. C’est pourquoi ces obstacles mettent en évidence le fait que les animaux marins restèrent dans leur milieu, qu’ils ne sortirent point de la mer pour aller sur la terre ferme en se transformant progressivement dans le temps, comme les savants des ténèbres le soutiennent avec leur théorie de l’évolution !

(12) D’ailleurs, pour que les animaux aquatiques et amphibiens soient sortis de la mer, n’aurait-il point fallu qu’ils eussent le désir de le faire ? Pourquoi donc ces êtres auraient-ils eu le désir d’aller vivre à l’air libre, dans un milieu étranger qui leur était parfaitement hostile et pour lequel ils n’étaient point conçus ? Peut-on imaginer qu’il en fut ainsi ? Nul ne le peut. Pourtant, ce sont ces changements de nature qui sont enseignés aux petits enfants ! Mais quand on ignore que ce sont les planètes qui activent et font briller les étoiles, et que la Terre a fait des va-et-vient par-devant le Soleil, on se cache et on se tait. On ne dit rien.

(13) L’eau apportée par le nuage solaire était forcément de l’eau douce. Cette eau s’est ensuite progressivement salée sur les dorsales pendant les deux cent mille années d’éruptions volcaniques, de dissolutions des corps minéraux, et d’activité électromagnétique produisant des sels par électrolyse. Ce qui nous permet de dire que les animaux marins furent d’abord des êtres d’eau douce, puis d’eau saumâtre et en dernier d’eau salée. Dans le primaire, les roseaux, les insectes vivant sur l’eau ou dans l’eau, les nénuphars, les grenouilles, les serpents et les poissons des étangs de cette époque, devaient aussi se trouver en bord d’océan...

(14) En observant les va-et-vient, on voit que la composition de l’atmosphère, le climat, les saisons, ainsi que la durée des années différaient tout au long d’une ère et d’une ère à l’autre. C’est pourquoi les créatures formées avec les ingrédients de ces temps-là portaient de grandes différences de taille. Selon la durée de révolution de la Terre autour du Soleil, ils étaient probablement grands et lents sur les grandes orbites, petits et rapides sur les petites orbites. Choses que l’on peut imaginer en regardant le serpent. Ainsi, dans une même ère, les conditions d’existence qui changeaient d’année en année et de siècle en siècle faisaient apparaître un monde toujours différent.

(15) Aussi, puisque les êtres créés en réponse étaient formés avec ce qui existait en leur temps, ils étaient naturellement adaptés aux éléments composant le milieu duquel ils étaient issus. Alors, tant que ces éléments à l’origine de leur existence demeuraient, les créatures pouvaient demeurer. Mais au fur et à mesure que la Terre se déplaçait et que ces éléments s’amenuisaient et disparaissaient en conséquence, les créatures correspondantes disparaissaient avec eux. On comprend, en effet, qu’en n’ayant pas le pouvoir de se concevoir et de se créer eux-mêmes, les êtres ne peuvent disposer du pouvoir de s’adapter à des éléments qui ne font point partie des sources de leur existence. Ceci, et ce que nous avons déjà vu par ailleurs, montre à l’évidence qu’il n’y a jamais eu d’évolution des espèces par transformation de leur corps dans le temps.

(16) Mais outre le fait que les espèces apparurent et disparurent dans des périodes différentes, pourquoi y a-t-il eu diversité des espèces végétales et animales dans une seule ère ? Par exemple, lorsque les conditions de vie devenaient dix sous telle latitude, une créature correspondante de dix apparaissait en réponse. A cet instant, les conditions de vie devenaient onze, parce que l’espèce créée en faisait partie. Cette fois, une espèce de onze était formée en réponse et quelque peu différente de la précédente qui demeurait. La première espèce n’est donc point devenue la deuxième, et cette dernière n’effaça point la précédente qui avait toujours sa raison d’être. La diversité des espèces s’est opérée de la sorte. Car chaque espèce nouvelle enrichissait les conditions de vie par sa présence, en obligeant une élaboration toujours plus grande des espèces nouvellement créées et, cela, jusqu’à ce que l’homme soit formé.

Le renouvellement des espèces

(17) Lorsque la Terre entrait dans une période d’extinction des espèces, ce sont les premières apparues qui s’en allaient en premier. Ceci, parce que les conditions de vie nouvelles auxquelles elles ne correspondaient pas les affaiblissaient et les rendaient progressivement stériles. C’est ce que l’on appelle le vieillissement d’une espèce jusqu’à son extinction. Car quelle que soit la créature, celle-ci est un corps fini qui, comme on l’a déjà expliqué, ne peut changer pour s’adapter à des conditions de vie qui ne sont plus les siennes.

(18) Ce qui montre, une fois encore, qu’aucune espèce ne peut s’adapter ni évoluer en se transformant, sinon il n’y aurait évidemment point de vieillissement d’espèce. Ce qui, toutefois, ne s’entend pas dans le quaternaire où la Terre s’est stabilisée, et où les conditions de vie ne sont point menacées de disparition, si ce n’est par une poignée d’hommes ténèbres qui veulent tout changer à leur image, ou qui font tout périr pour de l’argent. Pour que le monde ne s’en aille à jamais, il est pressant que cela s’arrête, parce que le serpent nous indique qu’il n’y aura plus de créations d’espèces. En effet, nous ne sommes plus dans le temps de la création originelle du monde (celui-ci étant formé et fini), nous sommes dans celui de la procréation, qui est sa continuation.

(19) Si toutefois on trouve des fossiles d’une même espèce dans le primaire, le secondaire et le tertiaire, n’imaginez pas que cette espèce soit passée d’une ère à l’autre, car cela fut impossible comme on l’a vu. Si on la trouve trois fois, c’est parce qu’elle est apparue trois fois, à partir de conditions de vie approximativement les mêmes. Cela peut être le cas pour des fougères, pour des insectes, pour des invertébrés, pour des poissons, ou encore pour certains reptiles qui existèrent dans le secondaire comme ils existent aujourd’hui, parce qu’il s’agit d’organismes ou d’êtres simples.

(20) Je dis que dans la complexité croissante des ères, ce qui est simple existe toujours et non ce qui est davantage élaboré. Pour bien saisir cela, imaginons que les conditions de vie aient été au maximum de cinquante dans le précambrien, de cent dans le primaire, de deux cents dans le secondaire, de quatre cents dans le tertiaire, et soient devenues huit cents dans le quaternaire, en raison de leur enrichissement progressif. On remarque ainsi qu’un être de dix peut trouver existence dans toutes les ères, car dans celles-ci se trouve toujours le chiffre dix. Ce qui ne peut se produire pour une créature de deux cents, car elle ne pouvait trouver existence dans le primaire où les conditions de vie n’excédaient point cent.

Le métabolisme et la morphologie

(21) En survolant les ères, nous voyons qu’au début du secondaire toute l’eau était en atmosphère, et qu’il y eut ensuite un long temps de déluge qui ramena l’eau sur le sol brûlant. En ces jours-là, depuis les pôles dépourvus de glace jusqu’à l’équateur, il y avait de formidables pluies comme la Terre n’en connaîtra plus jamais. Ce qui entend des inondations, des torrents impétueux et la formation de grands lacs sur tous les continents, ainsi que tout ce qui est consécutif à de tels phénomènes. Puis, peu à peu, dans cette ère secondaire, notre planète entra dans la région du ciel qui permit à nouveau le cycle de l’eau nécessaire à la vie. Mais avec la grande chaleur du manteau acquise près du Soleil, que la pluie réduit un peu, les conditions favorables à l’existence commencèrent forcément à apparaître dans les étangs, les lacs, les marais et autres lieux humides, qui étaient les seuls endroits de l’ère secondaire qui offraient un peu de fraîcheur.

(22) Il ne faut alors point s’étonner que les premiers reptiles (les dinosaures) aient vu le jour en premier dans ces eaux, et qu’ils étaient dotés d’un long cou et d’une longue queue faisant balancier pour pouvoir se nourrir des herbes aquatiques sans se noyer... Vinrent ensuite ceux qui pouvaient vivre sur le sec, parce que le climat s’était un peu amélioré. Ceux-là avaient forcément une carapace plus épaisse et dotée de proéminences nécessaires à la régulation de la température interne de leur corps. Mais, n’allons pas au-delà dans la description corporelle des êtres des mondes antérieurs, car cela nous écarte de la voie. Dans la suite des jours, vous interrogerez vous-même le serpent dans le sens que je montre sur ces créations, en pensant constamment au climat du moment et à tout ce qui changeait. Alors, avec bon sens, il vous dira tout ce que je pourrais dire si j’étais envoyé sur Terre pour ne parler que de cela.

(23) Il est obligé que tous les genres de créatures possibles existent, jusqu’à ce que vienne celle qui, étant à l’image de Dieu, peut tout comprendre et tout faire. Celles-ci apparaissent sur chaque terre du ciel, comme elles sont apparues sur notre Terre. Nous venons de voir que les conditions de vie sont à la source des êtres que Dieu crée. Toutefois ces conditions de vie déterminent davantage le métabolisme (l’activité interne) que la morphologie qui, elle, est déterminée par la fonction de la créature. Comment l’expliquer ? Tout d’abord, on comprend que les végétaux sont formés les premiers avec leurs insectes et autres petits animaux qui les servent ; puis viennent les herbivores, les insectivores, les carnivores et les omnivores qui se nourrissent de tout. Il faut donc que ces créatures puissent, selon leurs besoins d’espèces, marcher, courir, bondir, voler, nager, ramper, se dissimuler et creuser. Car, vivre, consiste aussi à tirer profit du sol, de l’air, de l’eau et de leurs espaces, et d’échapper à tous les dangers.

(24) Si donc, pour subsister, un être déterminé a besoin de voler, de nager, de marcher, de gratter, de courir ; ou encore de bondir, de ramper, de creuser, d’étourdir, de butiner, de se cacher, de s’éclairer, ou de pratiquer le mimétisme, il ne peut arriver dans le monde vivant sans avoir un organisme et une morphologie correspondants à ces aptitudes ou fonctions, sinon comment subsisterait-il ? S’il se transformait pendant des siècles et des siècles, pourrait-il changer d’espèce en passant par des moments d’entre-espèces dépourvues d’aptitudes vitales, et durant lesquels moments il serait constamment en danger ? A-t-on trouvé des fossiles d’entre-espèces : ces chaînons toujours manquants dans l’esprit des scientifiques ?

(25) Écoutez-moi plutôt, car j’explique ici que ce ne sont point les membres du cheval qui se sont adaptés à la course, parce que, devant courir pour échapper à ses prédateurs et pour servir l’homme, le Créateur donna au cheval les membres qu’il lui fallait. Pareillement, les êtres volants ne se sont point adaptés au vol, mais furent créés avec des ailes pour voler. Pour s’adapter à quelque chose, ne faut-il pas que cette chose existe préalablement ? Où donc se tenaient cachés la course et le vol, pour que des êtres rudimentaires les découvrent un jour et s’y adaptent en se transformant ?

(26) Non, ce n’est pas ainsi qu’il faut observer la Nature. C’est le milieu qui détermine ce que doit être la création de Dieu, en considération de sa fonction dans le monde. C’est pourquoi aucun être ne peut avoir les facultés de s’adapter à ce qui ne l’a point fait et qui lui est forcément hostile. Pour ces raisons, le poisson a toujours été poisson, le cheval a toujours été cheval, l’oiseau a toujours été oiseau. Tous les êtres sont apparus tels qu’ils sont dans leur milieu naturel où ils restent. Un être peut toutefois s’en aller vivre dans des conditions de vie extrêmes pour lui, mais pour un temps seulement, sinon il finira par disparaître. Ne vous attendez donc pas à attraper des plumes si vous désirez fortement voler dans les airs, ni des écailles si vous désirez vivre dans l’eau, car cela n’arrivera pas, même si du lever au coucher vous ne cessez de simuler le vol ou la nage...

(27) Le serpent qui parla à Eve, et qui s’exprime fort bien aujourd’hui devant tous, montre ce que furent les conditions de vie antérieures à l’origine des êtres vivants. Observez-le et interrogez-le, il vous répondra dans le détail. Moi, je ne parle que de l’essentiel pour que vous restiez sur la voie. Dans cet essentiel, nous remarquons que les espèces qui précèdent ne sont jamais les ancêtres de celles qui succèdent. C’est pourquoi il ne faut plus dire que les reptiles volants du secondaire sont les ancêtres des oiseaux, parce que nous comprenons qu’ils ne furent que leurs prédécesseurs. Ayant pour fonction de voler, ces êtres, comme les oiseaux ou les chauves-souris, furent pourvus d’ailes dès leur création. S’il y avait évolution des êtres par transformation de leur corps, il y aurait forcément perte continuelle de leur fonction par inaptitude et impossibilité pour eux de vivre. Même un enfant le conçoit.

(28) L’être vivant est toujours un corps parfait et forcément adapté au milieu qui sert à sa création et à son maintien. Par conséquent, un être est toujours achevé et non en perpétuelle voie de finition ! Le comprenez-vous ? Par ailleurs, lorsqu’une espèce apparaissait sous telle latitude et à l’air libre par exemple, elle apparaissait partout sous cette latitude autour de la Terre. Elle n’apparaissait pas en un seul endroit duquel elle s’éloignait pour occuper tous les continents. Non, tout homme saint d’esprit comprend qu’il n’y a pas eu des espèces d’herbes qui apparurent un jour à tel endroit, sur un continent, et qui se répandirent ensuite sur toute la Terre ; car toutes les espèces furent formées dans leur genre, sur tous les continents, et en leur temps.

(29) Ainsi que nous venons de l’expliquer, les espèces portent parfois des différences entre elles, parce que les conditions de vie qui les ont enfantées ne pouvaient être absolument identiques dans tous les pays. On ne peut imaginer deux particules rigoureusement semblables dans l’univers sans fin, comment donc pourrions-nous trouver les créatures d’une espèce semblables sur tous les continents ?

(30) La diversité est la plus grande richesse de l’univers et son fondement. On la trouve également parmi les spécimens d’une espèce apparue en son temps, sous telle ou telle latitude. Si toutefois on trouve des êtres à peu près semblables sur plusieurs continents, il ne faut pas en conclure, tels les savants, que les continents étaient réunis en un seul assemblage, qu’ils appellent PANGÉE, et qu’ils ont dérivé par la suite en emportant chacun son lot... parce que nous avons vu qu’il y a impossibilité de dérive des continents.

*

(31) Retenons que les éléments à l’origine des êtres vivants furent constamment variables dans les ères, par les déplacements de la Terre et les changements de température qui sont aussi la cause de l’émergence des continents et de la formation du relief. Le serpent nous indique aussi qu’il y a eu apparition et disparition des mondes, mais que le monde actuel n’est pas menacé de disparition si ce n’est par l’intense destruction des conditions de vie qui a lieu dans ces derniers temps. Ce sont ceux qui règnent qui en sont responsables, car ils ne parviennent pas à saisir que les êtres vivants doivent demeurer tels qu’ils sont sur Terre et dans leurs nombres justes, pour que l’homme puisse lui-même demeurer. Dieu est vivant et parfait, et ses créatures sont des perfections inégalables au sommet desquelles on trouve toujours l’homme ! C’est pourquoi le destructeur ne peut demeurer plus longtemps. Son séjour dans le monde est achevé. Il doit s’en aller.

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9 janvier 2012

Les six jours de la création

 

Les six jours de la création

(1) Désormais, nous avons acquis la certitude que le ciel renferme des myriades de mondes vivants, et nous n’ignorons plus d’où vient l’eau par laquelle ces mondes existent. Sachant que cette eau ne peut être liquide que dans la région du ciel où nous sommes, nous pouvons alors aisément situer les autres mondes du ciel autour de leur étoile.

(2) Il faut aussi savoir que, pendant le chambardement, l’étoile nouvelle s’éloigne de sa mère et se positionne dans le lointain vis-à-vis d’elle. Cela fut autrefois pour notre Soleil qui s’est repoussé de son étoile à partir de l’instant où il s’est mis à briller. Dans les temps anciens, tout au début des ères terrestres, il y avait donc deux étoiles assez proches l’une de l’autre dans le ciel. Toutes deux éclairaient nos planètes en plein bouleversement duquel la Terre sortit avec le visage que nous lui connaissons aujourd’hui.

Les ères terrestres

(3) Or, si depuis longtemps les hommes se sont aperçus que la Terre a connu des ères différentes, aucun d’entre eux n’a encore démontré pourquoi elle était passée du précambrien au primaire, puis au secondaire, puis au tertiaire, et enfin au quaternaire dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Il est certain cependant que la Terre n’est point allée par magie d’une ère à l’autre, toujours différente de la précédente. Non, les ères qu’elle connut sont dues aux va-et-vient qui la firent séjourner deux fois dans le froid intense et une fois dans la température fort élevée ; car ce sont ces changements de température qui modifièrent à chaque fois le sol, le relief, la configuration des continents, ainsi que le climat et le monde vivant.

(4) N’ayant jamais quitté son anneau originel, la Terre conserva sa chaleur, et cela d’autant mieux que la nébuleuse solaire la couvrit d’un océan protecteur. Mais ce sont les gros écarts de température qu’elle connut lors de ses va-et-vient qui façonnèrent son visage et qui déterminèrent les ères indispensables à la préparation du jardin d’Eden dans lequel l’homme a été créé. Nous allons donc nous pencher sur l’histoire de notre planète depuis l’éclairement du Soleil qui lui fit décrire le serpent que nous avons souvent évoqué et dont voici l’agrandissement :

 

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La création

(5) Cette illustration, que nous rencontrerons par ailleurs avec plus de détails, révèle toute la vérité sur l’histoire de notre Terre. Elle n’est pas le fruit de ma volonté. Elle est le fruit de la volonté du Très-Haut qui m’a guidé jusqu’ici pour que je montre ses oeuvres magnifiques et que chacun sache que la science est ce qui fait l’homme et non ce que l’homme fait.

(6) C’est pourquoi personne n’avait encore contemplé une telle image qui montre tout et guérit celui qui la regarde. Outre le passé lointain depuis que le Soleil brille, on voit pourquoi la Terre a de l’eau en abondance, ses diverses ères et leur monde, le moment de l’interception de la Lune, et ce que fut son évolution dans la région du ciel où la température solaire permet le cycle de l’eau et la manifestation de la vie. Ainsi, c’est toute l’histoire du monde que l’on contemple, depuis les commencements jusqu’au Fils qui éclaire l’homme d’une lumière nouvelle.

(7) Nous étudierons précisément ces va-et-vient terrestres et ce qu’en furent les conséquences. Après quoi, chacun connaîtra la mère des vivants, comme il ne l’a encore jamais connue. Dès le début, j’ai dit que je vous emmènerai devant Moïse, pour que vous entendiez pour la première fois de sa bouche ce qu’aucun homme n’a entendu depuis qu’il fut envoyé dans le monde.

(8) Eh bien, c’est avec cette figure que nous allons le rencontrer maintenant. Vous ne le verrez point cependant, mais vous entendrez pour la première fois ce qu’il dit dans l’Écriture. Or, pour ne point nous présenter à lui dénudés, examinons d’abord les faits marquants des époques montrées par le serpent et que voici :

(9) AVANT LE PRÉCAMBRIEN : Il s’agit de l’époque durant laquelle toute la famille solaire se forma. En ce qui concerne la Terre, cette toute première ère débute au jour de sa naissance et s’étend jusqu’à l’éclairement du Soleil.

(10) LE PRÉCAMBRIEN : Commençant à partir du jour et de la nuit, qui firent suite à l’éclairement du Soleil, cette ère se caractérise surtout par la longue évolution de notre planète au sein de la nébuleuse solaire qui la couvrit d’eau. Vient alors la séparation des eaux du dessus de celles du dessous qui se sont étendues sur tout le globe où il n’y avait que fort peu de relief en ce temps-là. Ce fut donc le début du cycle de l’eau pendant que la Terre s’en allait pour longtemps dans la région la plus froide qu’elle connût.

(11) LE PRIMAIRE : Lorsqu’elle sortit de cette première époque glaciaire, les premiers continents commencèrent à émerger. Puis ces continents se couvrirent d’une abondante végétation, de beaucoup de verdures géantes qui produisirent ensuite des dépôts de houille sur le sol (le carbonifère), tant était grande la chaleur solaire à la fin de cette ère, où notre planète connut l’orbite la plus basse de son déplacement.

(12) LE SECONDAIRE : La principale caractéristique de cette ère est l’interception de la Lune, qui mit fin au règne des reptiles (des dinosaures) et aux autres êtres vivants apparus tout au long de cette période. Dans le ciel, il y avait désormais le Soleil qui présidait le jour et la Lune qui présidait la nuit.

(13) LE TERTIAIRE : Cette époque est marquée par deux événements : le premier fut la formation des chaînes montagneuses abruptes, qui se produisit pendant cette longue et dernière période de refroidissement. Le second, fut la diversification des oiseaux et des mammifères qui, par leur présence, annonçaient et préparaient la venue imminente des hommes.

(14) LE QUATERNAIRE : Période actuelle, très courte par rapport aux précédentes, parce qu’elle commença à partir de la stabilisation de la Terre dans la région du ciel où nous nous trouvons. Mais cette ère, qui débuta avec l’apparition des mammifères et du bétail, fut aussi celle de la création des premiers hommes. Ils furent créés chacun dans leur couleur, et se multiplièrent ensuite sur tout le globe jusqu’à présent.

(15) Là s’achève l’histoire succincte de notre planète depuis sa naissance jusqu’à ce que le Soleil brille, et de ce moment-là jusqu’à ce jour où tout est raconté. Le monde va donc changer car, dès les débuts du siècle, il entrera dans une ère nouvelle qui est celle du règne de Dieu et de son peuple, de ce fameux règne depuis longtemps annoncé par les prophètes.

Les six jours et le septième jour

(16) En sachant que les corps fluctuent, surtout en fonction de la température, on comprend que toute datation se faisant à partir d’eux n’est qu’une fantaisie et non la réalité. Abstenons-nous alors de ce genre de mesure et de toute autre méthode de datation se faisant avec la matière. En ce qui concerne l’évaluation de la durée des ères, tenons-nous-en plutôt aux forces concernées, aux inerties, et aux distances du Soleil que nous avons déjà évoquées.

(17) Puisque dans l’espace la Terre n’offrait qu’un disque infime au souffle de l’explosion atmosphérique du Soleil, on peut estimer que la force reçue ne fut pas si grande, et que quarante mille révolutions furent approximativement la durée du précambrien, cinquante mille celle du primaire, soixante mille celle du secondaire, trente-cinq mille celle du tertiaire, et douze mille celle du quaternaire qui commence depuis sa stabilisation. En additionnant ces durées présumées, mais probables, on voit que le Soleil ne brille que depuis cent quatre-vingt-dix-sept mille révolutions ! Bien que ce soit approximatif, nous sommes cependant fort proches de la réalité. Pour s’en convaincre, il suffit de procéder dans l’autre sens. C’est-à-dire que si on remonte le serpent à partir de la croissance démographique et de la dernière grande époque glaciaire qui fit plisser les montagnes, on parvient à des estimations de durée semblables.

(18) Mais mieux vaut s’abstenir de toute mesure de temps, car quelle était la durée d’une année (une révolution) lorsque la Terre était en orbites basses et en orbites hautes ? Nous ne le savons pas. C’est pourquoi, en ce qui concerne les ères terrestres (les ères géologiques), il ne faut pas raisonner en années mais en jours célestes. On dit : de la naissance à l’éclairement du Soleil, ce fut un jour céleste ; le précambrien fut un autre jour ; le primaire également ; et ainsi de suite pour toutes les ères. Alors nous resterons avec Moïse dans ce qui est effectivement vrai. Car voici comment l’enseignement du Fils est conforme aux Écritures, et comment sa parole est confirmée par Moïse. Ainsi, vous saurez enfin que Dieu existe, et que ses deux témoins sont les seuls hommes que le monde doit suivre pour son salut.

(19) En ce qui concerne la création du monde, Moïse écrit dans la genèse :

 
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre (toute la famille solaire).


La terre était informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut
(l’éclairement du Soleil). Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et appela les ténèbres nuit (commencement du jour et de la nuit avec l’éclairement du Soleil). Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE PREMIER JOUR (avant le précambrien).

(20) Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux (commencement de l’étendue d’eau sur la Terre qui la sépara de la couronne qui s’en allait doucement). Et Dieu fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue (sur le sol) d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue (la couronne). Et cela fut ainsi. Dieu appela l’étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE DEUXIÈME JOUR (le précambrien).

(21) Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel (sur le sol) se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse (l’émergence des continents engendrant le creusement des bassins). Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l’amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE TROISIÈME JOUR (le primaire).

(22) Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes, pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour (le Soleil), et le plus petit luminaire pour présider à la nuit (la Lune) ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE QUATRIÈME JOUR (le secondaire).

(23) Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l’étendue du ciel. Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE CINQUIÈME JOUR (le tertiaire).

(24) Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur tout animal qui se meut sur la terre. Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence ; ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. Dieu vit tout ce qu’il avait fait ; et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE SIXIÈME JOUR (le quaternaire).

(25) Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au SEPTIÈME JOUR son oeuvre, qu’il avait faite ; et il se reposa au septième jour de toute son oeuvre, qu’il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu’en ce jour il se reposa de toute son oeuvre qu’il avait créée en la faisant (le royaume).

(26) Tout est raconté dans les six jours et le septième jour décrits par Moïse, et autour desquels sont faites les Écritures. Les six jours sont les six ères nécessaires pour que l’homme soit. Et le septième jour est le repos de Dieu, le jour que Dieu bénit, parce que cette fois ses enfants connaissent toute la vérité. Il s’agit du royaume (du sanctuaire), d’un jour sans fin dans lequel entrent aujourd’hui ceux que son fils se choisit.

Le témoignage des Écritures

(27) Maintenant vous croyez. Parce que vous voyez que Moïse d’abord et le Fils de l’homme ensuite sont véritablement ensemble sur la montagne de l’Éternel. Lorsqu’on regarde la figure de l’évolution de la Terre, ne voit-on pas un serpent ? Dès le début du livre, j’ai parlé de ce serpent, de ce fameux serpent qui redevient une verge dans la main de Moïse avec laquelle il frappe la terre de sa parole. Je vous le dis, Moïse savait lui aussi ce qu’il en était de l’histoire du monde, car Dieu l’éclaira comme il m’a éclairé. Il connaissait les ères et les écrivit pour qu’elles servent de témoignage lorsque je les démontrerais au monde entier.

(28) Jusqu’à Jean, il y eut Moïse, sa table et sa plume ; cet homme sans lequel le monde humain n’aurait pu parvenir jusqu’à ce jour où je vous prends de sa main pour vous emmener dans le royaume. Mais parce que dans le désert les hommes parlèrent contre Dieu et contre Moïse, l’Éternel dit à Moïse :

Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie. Moïse fit un serpent d’airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent et regardait le serpent d’airain, conservait la vie.

(29) Il a déjà été expliqué que ce serpent accomplit véritablement des miracles ; parce qu’il guérit celui qui le regarde, même s’il a été empoisonné par les serpents, que sont les hommes sans lumière et sans espérance. Le serpent le guérit et lui conserve la vie, parce qu’il lui montre les origines et la destinée de chacun. Il lui montre aussi comment il doit se conduire avec la loi de Moïse pour garder son âme vivante et prendre part au royaume dans les mondes à venir. Mais nous ne sommes plus au temps des figures allégoriques, car ce temps-là, propre au désert, est désormais achevé. Nous sommes au temps où l’homme finit sa traversée du désert et entre de plein pied dans la vérité, au temps où il ouvre les yeux pour voir le réel tel qu’il est et s’allier aux mondes des anges qui peuplent la grande Roue. Mais si vous ne croyez pas aux évidences, vous ne subsisterez pas ; car c’est pour vous garder en vie que nous sommes envoyés devant vous.

(30) Jésus dit :

Et comme Moïse éleva le serpent (la figure des sept jours) dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.

Moïse a en effet élevé ce serpent au ciel, mais vous ne l’avez point vu. Pourtant tout est révélé dans les six jours, suivis du septième jour qui est le jour où Dieu se repose de son oeuvre ; car cette fois, connaissant la vérité, les hommes cesseront de détruire la Terre et de s’entre-tuer comme ils le font sans la connaissance. A vous donc de comprendre ce que signifie : élever le serpent dans le désert, ainsi que l’analogie qui est faite avec le Fils de l’homme, attestant, par sa connaissance, l’oeuvre de Moïse, de celui qui a la même vision des temps.

(31) C’est avec ce que nous montrons que vous choisissez votre destinée car, ou vous comprenez ce que nous disons ou vous ne le comprenez pas. Mais fini le temps de feindre, fini le temps de l’hypocrisie ! La vérité est devant vos yeux : dessinée, expliquée, confirmée. Que choisissez-vous alors : d’écouter Moïse et le Fils de l’homme, ou de vous en remettre encore à ceux qui, sans lumière, vous conduisent au désastre et à la fin ?

(32) Dieu a défendu à l’homme de manger de l’arbre de la connaissance, parce qu’en vérité l’homme en serait venu à saisir le serpent qui montre en grand qui nous sommes, d’où nous venons et où nous allons. Or, il ne fallait pas que l’homme connaisse la vérité, parce que le blé et l’ivraie devaient d’abord croître ensemble jusqu’à la fin des siècles, pour qu’il y ait récolte et que l’ivraie soit jetée dans l’étang de feu pour toujours. Je parle des circoncis et des incirconcis assurément, ainsi que de la fin de ce monde. Mais je sais que vous avez le cou raide et que vous ne comprenez pas toujours ce que l’on vous dit ; cela parce que les longs mensonges habitent encore vos pensées.

(33) Mais, maintenant, vous entendez pourquoi Dieu dit à l’homme que le jour où ses yeux s’ouvriront, il mourra. Il en est ainsi, parce qu’on ne peut plus vivre avec les yeux ouverts dans un monde de ténèbres où la folie s’est emparée de tous les habitants. On meurt, parce qu’avec la connaissance, on ne peut plus aller comme on le faisait en étant ignorant. C’est pourquoi ce fameux serpent, qui parle mieux qu’une bouche, dit à la femme : vous ne mourrez point, car vous serez comme des dieux connaissant le bien et le mal. N’est-ce point ce qu’il vous dit, femmes, au terme des six jours ? Vous ne rendrez pas l’âme assurément et vous continuerez de respirer ; mais, je vous le dis, avec les yeux ouverts plus rien ne sera pareil. Ne soyez donc pas craintives, parce que la connaissance vous remplira peu à peu d’une joie nouvelle et fera s’enfuir l’iniquité de devant vos pieds.

31 décembre 2011

Écritures d'après Émmanuel le Fils de l'homme

LE LIVRE DE VIE L'AGNEAU  Ce livre est la suite des Écritures de la Bible écrit par le Fils de l'homme, qui vient vous sauvez, et dévoile complètement ce qui était caché depuis 2000 ans! Il n'y avait que l'élu qui pouvait déchiffrée, car ça lui était destinée, pour cette fin de ce monde. Ne prenez pas à la légère ce livre, car après sa venue, plus personne ne viendra derrière!

(3) Qui a cru à la prophétie ? Et qui comprend cette parole de Jean, en fin des Écritures, pour ce grand jour :

 Venez, rassemblez-vous pour le grand festin de Dieu, afin de manger la chair des rois, la chair des chefs militaires, la chair des puissants, la chair des chevaux et de ceux qui les montent, la chair de tous, libres et esclaves, petits et grands. Condamnés ainsi et ouvertement par les Écritures, comment alors purent-ils devenir rois, chefs militaires, puissants ? Peut-on être jugé de la sorte et prétendre marcher avec Dieu ? Ce sont pourtant ces hypocrites montrés du doigt que vous placez à vos têtes, eux que vous chérissez ! Mais il m’est demandé de les débusquer et de les chasser comme du gibier, pour le grand festin de Dieu, parce que leurs oeuvres sont celles de Caïn qui sont d’une très désagréable odeur à l’Éternel.

(4) Puisque l’homme n’a pu se concevoir ni se créer, il va de soi qu’il ne peut nullement établir lui-même ses propres règles pour subsister. Seul le Créateur peut les lui donner, comme vous-mêmes placez les règles de marche au sein des machines que vous concevez. Dieu fit ainsi connaître sa loi à Moïse, afin que par elle vous puissiez arriver jusqu’au Fils de l’homme en étant saints d’esprit et debout. Mais vos pères ont jeté cette loi par-dessus l’épaule pour établir des rois et leurs lois ! Étonnez-vous alors qu’il y ait autant d’injustices, de dévastations, d’oppressions, de désespoir, de maladies et de cris de douleurs parmi les peuples.

 (5) La confusion règne partout et dans tous les domaines, parce que le monde vit Babel aujourd’hui. En effet, Babel est l’image de ce monde qui élève au ciel ce qu’il ne faut pas et qui parle le même langage tout autour de la Terre. Il ne peut en être autrement, parce que les hommes se confient et obéissent à ceux qui les orientent dans la même voie. C’est pourquoi vous êtes tous en train de croire à la science qui sort de l’homme et non à la science par laquelle on existe, ainsi qu’à des libertés qu’accordent les dirigeants et non à la liberté originelle. Vous évoquez des sociétés religieuses et jamais la religion qui consiste à pratiquer les règles de vie données par Dieu, et à s’élever ensuite jusqu’à Lui pour acquérir la connaissance et se conformer à sa volonté. Vous percevez le réel, mais vous interprétez tout à l’envers. C’est pourquoi beaucoup prétendent que la Terre n’a jamais connu d’hommes aussi intelligents que ceux d’aujourd’hui...

(6) Dieu, par Moïse, a prévenu l’humanité, mais l’humanité ne l’a pas entendu parce que les prêtres de Satan donnent de fausses interprétations de l’Écriture, comme les scientifiques donnent de fausses interprétations du sidéral. Tout cela inverse vos jugements. Il en découle alors les ténèbres humaines, vous faisant ressembler à des hommes perdus dans une forêt obscure, qui ne trouvent point le chemin pour en sortir. En effet, aujourd’hui vous errez car nul ne peut dissocier Dieu des religions, ni les astres des scientifiques, parce que ces hommes disent haut et fort : nous avons le privilège de la sagesse et de la compréhension ! En les croyant, vous êtes désorientés et désespérés.

(7) Tout cela m’occasionne beaucoup de peine, car vous ne pouvez plus envisager de vivre sans le veau d’or (qui est la monnaie), sans les villes monstrueuses qui ne cessent de grandir, sans les machines de fer qui détruisent tout, et sans ceux qui détiennent des pouvoirs et vivent d’autrui en disant : écoutez ce que l’on vous dit ! Faites ce que l’on vous demande et taisez-vous ! Vous faites alors ce qu’ils vous demandent et vous marchez en pleurant. Ce qui est un grand malheur. Car dès lors que les puissants ont la mainmise sur vos pays, sur vos régions et vos biens, ainsi que sur vos familles, vos enfants, vos corps et vos esprits, que reste-t-il de ce qui fait de vous des hommes ? Il ne vous reste rien. Alors écoutez-moi. Après quoi, vous les innocents, vous ne serez plus des agneaux que les loups dévorent, mais des agneaux dont les loups ont peur.

 (8) En ce jour, la Terre est comme une femme enceinte dont les enfants se bousculent en son sein. Les uns vont naître pour la vie éternelle, ce sont les saints d’esprit rendus parfaits à la fin des siècles ; et les autres périront lamentablement à cause des iniquités de leurs pères qui se sont portées sur eux par les transgressions de la loi. Tout cela annonce de grandes douleurs, car en plus de la difficulté de naître de nouveau, il y aura ensuite la séparation des justes et des injustes.

 Les démoniaques

(9) Vous donc les théologiens qui sondiez les Écritures, et vous les savants qui vous penchiez sur la science, n’auriez-vous point dû informer le monde et préparer la femme enceinte pour le jour de son difficile accouchement ? N’est-ce pas ce que vous auriez dû faire avec la prophétie qui annonçait cet événement pour la fin des siècles, ou avec la science qui le montre pareillement ? Mais, habités par des démons, vous êtes davantage préoccupés par la gloire, la récompense, l’argent et la recherche des honneurs, que vous ne l’êtes par le développement spirituel de l’homme et la connaissance de la vérité ; sinon, vous seriez informés du jour de sa délivrance que je viens annoncer.

(10) Vous donc qui vous nommez scientifiques, oui vous les missionnaires sans mission, la vérité va placer dans les mains des hommes un cordeau qui leur servira à mesurer votre imposture ainsi que votre excessive vanité. Vous n’auriez point dû vous asseoir sur le trône de Dieu qui n’est pas à vos dimensions. Avez-vous des révélations à faire au monde ? Il n’en est rien. Et l’Écriture en témoigne, car elle annonce un homme (l’esprit de vérité) qui conduira la créature dans toute la vérité. Et je me glorifie d’être cet homme annoncé. Lorsque vous parlez de l’univers et de l’existence, vous ne faites qu’enfoncer davantage le monde dans les ténèbres. Vous cachez votre ignorance avec des millions ou des milliards d’années d’évolution et de hasard qui vous dispensent de toute explication cohérente. Vous tissez des toiles de mensonges dans lesquelles les hommes se prennent et se débattent. Cependant, la science a un autre objet et une autre fin que vous ne pouvez nullement saisir en croyant que vous êtes au-dessus de tous, et probablement les seuls êtres intelligents de l’univers... Mais avec vos mensonges, j’ai fait de vous mon marchepied et vous ne vous en remettrez pas. Bien que vos noms soient honorés dans le monde, avec les religieux et tous ceux qui règnent, vous êtes des imposteurs et les pères de l’horreur, coupables d’avoir amené les souffrances du monde et sa fin.

 (11) Ici je m’adresse à vous, les scientifiques démoniaques, qui avez fait de la science une affaire inextricable et une substance empoisonnée qui tue les hommes ! Il suffit de regarder vos oeuvres qui souillent, modifient les êtres, profanent et dévastent la Terre, ainsi que les chaînes des gens et leurs fardeaux, pour comprendre ce que sont vos pensées et vos travaux. En vous proclamant savants, vous pensez pouvoir tout vous permettre, jusqu’à changer la nature, comme si la Terre et ses habitants étaient les ouvrages de vos mains. Non seulement vous ignorez tout de l’existence, mais encore vous êtes convaincus d’être plus que les prophètes qui ont depuis toujours annoncé le sort de ce monde.

(12) Avec beaucoup d’arrogance, vous faisiez croire aux hommes que vous seuls aviez le privilège de connaître la matière, comme les sectes religieuses leur firent croire avec d’abominables mensonges qu’elles seules connaissaient Dieu. Et voici que plus personne ne peut ouvrir la bouche ! Eh bien, après avoir mesuré, pesé, compté vos paroles et vos oeuvres, nous allons maintenant en estimer le prix. Si vous n’arrivez pas à saisir la science, c’est que vous rejetez le Créateur. Aussi, en vous substituant à Lui, vous interprétez forcément tout à l’envers, jusqu’à affirmer que Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune sont des étoiles manquées, alors qu’elles sont au contraire des étoiles en préparation. Vous savez boire l’eau quand vous avez soif, mais vous ignorez toujours par quel mystère elle se trouve en abondance sur la Terre. Vous parlez de la particule et de l’astre, sans toutefois connaître le cycle de la matière. Vous donnez des explications, mais sans connaître le principe d’existence des masses. Vous prétendez, vous affirmez et conduisez le monde à sa ruine. Hypocrites ! Aujourd’hui vous êtes mis à la porte, car vous n’êtes pas de taille à sortir Dieu de son univers, et vos bras sont trop courts pour abolir ses règles.

 (13) Depuis que je vous observe, je vous entends dire aux peuples : vous allez bientôt tout savoir sur la vie, car nous venons de découvrir ceci et cela avec lesquels nous allons enfin pouvoir démontrer l’univers et qui nous sommes ! Mais vous continuez d’entraîner les hommes dans vos mensonges, jusqu’à leur faire croire qu’ils sont une espèce de singes qui évolue indéfiniment... Vous ajoutez que le passage de l’humanité sera bref, et que même l’univers disparaîtra ! Avec de telles paroles, vous ôtez le désir de vivre, parce que de telles affirmations détruisent les esprits des hommes et annulent en eux leur raison d’exister. Mais la vérité va leur apparaître tout autre je vous le dis, et cette fois la vie trouvera tout son sens dans leur coeur.

 (14) Étant incapables de lire les Écritures, vous les contestez. Et en me regardant d’en haut, vous ricanez. Mais où situez-vous la sagesse depuis vos tours : au sein de vos chaudrons nucléaires à partir desquels vous produisez les armes effroyables de la fin et les déchets contaminés ? Ou bien dans les eaux souillées par vos produits ? Serait-elle dans vos laboratoires où vous cultivez d’abominables maladies avec les militaires pour exercer votre domination sur les populations ? Se cacherait-elle parmi vos victimes qui meurent chaque jour et que l’on ramasse le long des routes et autour des villes ? La voyez-vous dans vos industries qui détruisent les sites, l’air, l’eau, les animaux en grand nombre, les semences et le climat ? Habiterait-elle parmi ces peuples qui, voulant vous suivre, sont appauvris et ébranlés sur leurs bases, et désormais semblables à des squelettes sur pieds ? Est-ce la sagesse ou votre immense vanité qui vous fait croire que vous êtes au-dessus du Créateur, et que vous pouvez à votre guise changer sa création par des manipulations de gènes, de cellules et d’embryons ? Insensés ! Vous ne pensez qu’à faire des chimères et des machines de mort ! Vous ne professez que la catastrophe et le néant, parce que vous n’êtes que les enseignants du mensonge et les fournisseurs de visions démoniaques desquelles sortent la violence, l’insensibilité et les moyens de l’extermination.

 (15) En ayant lamentablement échoué dans vos tentatives d’explications sur l’existence, vous en êtes arrivés à cette conclusion : l’homme est un hasard ! L’eau sur la Terre est un hasard ! La Terre elle-même est un très grand hasard, ainsi que l’intelligence des hommes ! Mais dites-moi, si ce hasard-là est en mesure de concevoir et de créer les astres qui offrent des conditions de vie avec lesquelles il forme le monde espèce après espèce, jusqu’aux hommes qui rient et pleurent, n’est-il pas divin ? Qu’avez-vous donc contre le Créateur pour l’appeler hasard ? Que vous a-t-il fait pour que vous soyez tous ligués contre Lui, alors qu’il vous donne le souffle de vie ? L’accusez-vous de vous laisser dévaster la Terre et d’occasionner des souffrances horribles parmi les peuples, alors qu’il vous fit connaître sa loi pour ne pas en arriver là ? Vous avez voulu vous mesurer à Dieu pour vous faire valoir aux yeux de tous, mais aujourd’hui vous voilà vaincus par une mâchoire d’âne...

 (16) Misérables créatures, vous me chargez d’une lourde tâche ! Mais ce fardeau que vous placez sur mes épaules vous écrasera et vous fera disparaître à jamais de cette Terre qui ne peut plus vous supporter. En ne pouvant vous approcher du Créateur et de ses prophètes, vous n’aviez point cru à la venue du Fils de l’homme aux jours de la fin. Mais vos oeuvres vous suivent ; et par vos oeuvres démoniaques qui amènent la fin, vous êtes jugés. Vous allez vous en aller, car tel est l’ardent désir de Celui qui m’envoie rendre la Terre à nouveau habitable, et telle est ma volonté.

 

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31 décembre 2011

La création

 

 (4) D’abord la formation de nos astres qui se fit jusqu’à l’éclairement du Soleil, ensuite les ères successives que la Terre connût, sont les six jours de la création de Dieu exprimée par Moïse dans la Genèse. Ces jours ne sont point des jours d’hommes, mais des époques. Ainsi, dès après que la famille solaire fut formée, le Soleil s’éclaira au PREMIER JOUR. A la suite de quoi, la Terre évolua dans la nébuleuse solaire et vit apparaître sur son sol le règne de l’eau au DEUXIÈME JOUR (le précambrien). Puis, à la suite de l’émergence des premiers continents, ce fut le règne des végétaux au TROISIÈME JOUR  (le primaire). Il fut suivit du règne des reptiles qui s’éteignirent soudainement lorsque la Terre adopta sa jeune soeur, la Lune, qui vint présider la nuit au QUATRIÈME JOUR  (le secondaire). Vint ensuite le règne des mammifères et des oiseaux dans le CINQUIÈME JOUR  (le tertiaire), auquel succéda le règne des hommes dans le SIXIÈME JOUR  (le quaternaire) qui est le jour durant lequel la Terre stabilisa son orbite autour du Soleil, qui est celle que nous lui connaissons.

(5) Ainsi, depuis le peu de temps que le Soleil brille, la Terre donna naissance à des mondes successifs jusqu’au monde humain qui crût et se multiplia pour devenir ce qu’il est. Les six jours de la création s’achèvent pour laisser place au SEPTIÈME JOUR, qui est un jour de lumière, de justice et de paix dans lequel nous entrons avec ce nouveau siècle. Dieu pourra alors se reposer de toute l’oeuvre qu’il a faite. Car le septième jour est le sanctuaire, le lieu du repos de l’Éternel et son royaume dont il vient prendre possession, avec tous ceux qu’Il se choisit.

(6) Mais, jusqu’ici, en n’ayant point conscience de ce que furent les jours de la création et les ères qui s’y rapportent, les hommes vécurent dans les ténèbres sans pouvoir lire la prophétie et prédire ce qui allait leur arriver. Et dans l’attente d’être éclairés, ils se heurtent encore, se font toujours la guerre et détruisent tout. Mais le monde va changer ; car il est arrivé sur le soir, dans les temps messianiques où devait se lever celui qui viendrait enseigner l’univers, ainsi que les six jours et le septième jour, pour délivrer les hommes de leur ignorance et des souffrances qu’elle occasionne dans les peuples. Aussi, puisque l’Écriture annonce sans relâche cet homme, personne ne doit s’étonner aujourd’hui de sa venue qui est naturelle et prévue depuis la création du monde. Votre stupéfaction sera grande cependant, parce qu’en ne voyant nullement dans quels temps vous êtes, vous espérez encore en beaucoup de choses sauf à la venue du Fils de l’Homme pour ces temps-là. Ce livre que j’écris vous montrera que je suis cet homme. Je vous salue.

La mission du Fils de l’homme

(7) Lorsque je me mis à la recherche de la vérité, Dieu le vit. Il déroula alors le ciel devant moi comme le rouleau d’un livre, pour que j’y lise l’histoire des créations et apprenne le principe d’existence de toute chose. Je lus et appris. Et lorsque tout me fut révélé, je vis que l’univers était tout autre que ce que le monde croit. Je ne connaissais point encore Dieu, ni ne savais que j’étais envoyé par Lui. Mon désir fut cependant de montrer dans un livre tout ce que j’avais vu. Ce qui est fait. Mais, étant encore au commencement du livre, vous êtes persuadés qu’il n’y a point de vérité. Cependant, s’il n’y avait point de vérité, il n’y aurait point la Terre et le Soleil, ni d’étoiles avec leurs astres ; il n’y aurait point d’univers et nous ne serions pas. Ce serait le néant. Il convient donc d’étudier les choses célestes pour connaître qui nous sommes, où nous allons, et comment il convient de vivre en étant Homme.

(8) Depuis les commencements de l’humanité, les hommes ne se sont nullement rapprochés de la vérité mais s’en sont au contraire éloignés. C’est pourquoi le monde est aujourd’hui en pleine confusion et dans le désespoir de ne point voir l’aurore se lever. Mais je vais vous immerger dans l’eau vive des Écritures pour vous baptiser (vous instruire), vous ressusciter des morts (vous ouvrir les yeux) et vous sauver de ce qui arrive et que personne ne voit. Car sans la connaissance, l’homme est spirituellement mort ; et cette mort amène invariablement le monde à son terme. Ne vous alarmez pas cependant, ce ne sera point la fin de ceux qui entendent ma voix, mais seulement la fin de ce monde et de ceux qui l’amènent au désastre. Car, tel que vous le voyez, le monde n’est pas sur une nouvelle voie comme beaucoup l’imaginent mais est en agonie. Ne craignez pas sa fin cependant, elle sera le salut de ceux qui comprendront.

(9) Ne me présentant à vous ni seul ni les mains vides, je suis celui qui devait se lever à la fin des siècles, au temps marqué, pour séparer les saints d’esprit de ceux qui ne le sont pas. Les saints d’esprit me suivront et garderont la vie dans ce qui vient, tandis que les gens corrompus disparaîtront à tout jamais. C’est pourquoi, pour les uns, je serai l’occasion de leur relèvement et, pour les autres, celle de leur chute. Il s’agit de l’accomplissement des Écritures et de la fin des abominations commises dans tous les pays ; car ce monde mauvais va être détruit pour laisser la place à un monde meilleur. Aussi disposez-vous à voir et à entendre ce que nul n’a encore jamais vu ni entendu.

(10) Réjouissez-vous donc de ce grand jour où j’apporte la bonne nouvelle de la venue du royaume de Dieu pour le nouveau siècle. Mais seuls les humbles de coeur pourront prendre part à la résurrection et être ainsi élus ; parce qu’étant saints d’esprit, nul autre qu’eux ne pourra me saisir et me suivre. Dans l’Écriture, ils sont le bon grain qui est l’objet de la récolte de la Terre au dernier jour, pour être la semence du royaume. Ces hommes, femmes et enfants, qui sont la véritable postérité d’Abraham, ne perdront point la vie dans ce qui arrive et qui sera vite passé. Ils sortiront au contraire sur la Terre nouvelle qui aura changé sa face et retrouvé sa pureté originelle qu’elle gardera toujours.

(11) Vous, les gens humbles, ne redoutez pas la vérité. Elle est votre alliée et vous sauvera. Ceux qui ne subsisteront pas sont les hautains, les menteurs, les violents, les vaniteux, les hypocrites, les irrespectueux, les fanfarons et les méchants qui règnent depuis toujours dans le monde. Il s’agit de la plupart des politiciens, des religieux, des riches, des trafiquants, des conquérants, des militaires et des scientifiques, ainsi que ceux qui marchent avec eux. Tous ceux-là périront s’ils persistent dans leurs voies et ne sortent de ces congrégations de traîtres qui dévastent la Terre et font périr ses habitants. Ce monde est leur monde dans lequel ils règnent avec impudence, et un monde qui tient maintenant ses derniers discours. Soyez donc bien disposés à me recevoir. Et soyez prudents envers les qualificatifs que ne manqueront point de me donner ceux qui ne pourront point saisir la réalité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

31 décembre 2011

ACCOMPLISSEMENT DES ÉCRITURES

 

Connaissance

 

du monde qui s’achève

La bonne nouvelle

(1) Domaine de Dieu, l’univers est éternel. Sans commencement ni fin possibles,

il existe toujours. Les galaxies qu’il renferme sont des roues composées d’astres en

mouvement qui se renouvellent continuellement. Nous sommes à l’intérieur de l’une

d’elles, car toutes sont habitées par autant de mondes vivants qu’il y a d’étoiles. En

leur sein et telles des êtres, les étoiles naissent, passent et disparaissent tour à tour,

en ayant chacune une ascendance et une descendance. Comme le Soleil a des astres

auxquels il est lié, les étoiles ont leurs propres astres et brillent grâce à eux, pour

éclairer et faire vivre chacune leur monde au sommet duquel l’homme est toujours

créé.

(2) Né d’une autre étoile, le Soleil était dans les temps reculés beaucoup moins

grand qu’on ne le voit. Il ne donnait point encore de lumière. En formation avec ses

planètes, il était en ces temps-là semblable à Jupiter entouré de ses satellites. Puis,

dès que sa croissance et celle de ses astres furent achevées, il s’éclaira soudainement.

Jupiter fera de même le moment venu, ainsi que Saturne, Uranus et Neptune qui

sont aussi des étoiles en préparation.

(3) Vint donc le jour, il y a peu de temps de cela, où l’atmosphère du Soleil

explosa et éclaira ce dernier. Lors de cet événement, toutes ses planètes furent plus

ou moins bousculées par son souffle, et notamment la Terre qui s’éloigna et se

rapprocha de lui par deux fois. Et c’est avec la vapeur d’eau de son atmosphère qui

fut projetée dans l’espace, que le Soleil féconda la Terre en la couvrant d’un océan au

début de ce chambardement. Ainsi couverte d’eau et déplacée plusieurs fois dans

des régions du ciel où la température solaire est différente, la Terre vécut des

moments différents. Ce sont les ères ayant fait d’elle l’un des innombrables jardins

du ciel qui enfantent les mondes vivants.

 

 

5 novembre 2011

ECOUTE LA VOIE DE LA DROITURE

Mon fils, garde les préceptes de ton père, et ne rejette pas l'enseignement de ta mère.

Lie-les constamment sur ton coeur, attache-les à ton cou. Ils te dirigeront dans ta marche, ils te garderont sur ta couche, ils te parleront à ton réveil. Car le précepte est une lampe, et l'enseignement une lumière, et les avertissements de la correction sont le chemin de la vie:

u21206993[1]pr80541[1]1769607[1]Ils te préserveront de la femme corrompue, de la langue doucereuse de l'étrangère. Ne convoite pas dans ton coeur pour sa beauté, et ne laisse pas séduire par ses paupières, Car pour la femme prostituée on se réduit à un morceau de pain, et la femme mariée tend un piège à la vie précieuse.

Quelqu'un mettra-t-il du feu dans son sein, sans que ses vêtements s'enflamment?

Quelqu'un marchera-t-il sur des charbons ardents, sans que ses pieds soient brûlés?

Il en est de même pour celui qui va vers la femme de son prochain: quiconque la touche ne restera pas impuni. On ne tient pas pour innocent le voleur qui dérobe pour satisfaire son appétit, quand il a faim; si on le trouve, il fera une restitution au septuple, il donnera tout ce qu'il a dans sa maison. Mais celui qui commet un adultère avec une femme est dépourvu de sens, il n'aura que plaie et ignominie, et son opprobe ne s'éffacera point.

Car la jalousie met un homme en fureur, et il est sans pitié au jour de la vengeance; il n'a égard à aucune rançon, et il est inflexible, quand même tu multiplierais les dons.

RESTE DANS LA BONNE VOIE ET NE T'ÉCARTE PAS DE TON CHEMIN, CROIS EN CELUI QUI EST DANS TON COEUR, SUIT SES COMMANDEMENTS.

QUE TA VOLONTÉ SOIT FAITE.                                  AMEN

 

4 novembre 2011

TENDEZ L'OREILLE

000411[1]

Écoutez mes fils, l'instruction d'un Père, et soyez attentifs, pour connaître la sagesse:

Car je vous donne de bons conseils: ne rejetez pas mon enseignement. J'étais un fils pour mon père, un fils tendre et unique auprès de ma mère. Il m'instruisait alors, et il me disait:

Que ton coeur retienne mes paroles; observe mes préceptes, et tu vivras. Acquiers la sagesse, acquiers l'intelligence; n'oublie pas les paroles de ma bouche, et ne t'en détourne pas. Ne l'abandonne pas, et elle te gardera; aime-la, et elle te protègera. Voici le commencement de la sagesse: Acquiers la sagesse, et avec tout ce que tu possède acquiers l'intelligence. Exalte-la, et elle t'élèvera; elle fera ta gloire, si tu l'embrasses; elle mettra sur ta tête une couronne de grâce, elle t'ornera d'un magnifique diadème.

Ecoute mon fils, et reçois mes paroles; et les années de ta vie se multiplieront. Je te montre la voie de la sagesse, je te conduis dans les sentiers de la droiture. Et si tu cours, tu ne chancelleras point. Retiens l'instruction, ne t'en dessaisis pas; garde-la, car elle est ta vie. N'entre pas dans le sentier des méchants, et ne marche pas dans la voie des hommes mauvais. Evite-la, n'y passe point; détourne-t'en, et passe outre. Car ils ne dormiraient pas s'ils n'avait fait le mal, le sommeil leur serait ravi s'ils n'avaient fait tomber personne; car c'est le pain de la méchanceté qu'ils mangent, c'est le vin de la violence qu'ils boivent.

Le sentier des justes est comme la lumière resplandissante, dont l'éclat va croissant jusqu'au milieu du jour. La voie des méchants est comme les ténèbres; ils n'aperçoivent pas ce qui les fera tomber.

Mon fils, sois attentif à mes paroles, prête l'oreille à mes discours. Qu'ils ne s'éloignent pas de tes yeux; garde-les dans le fond de ton coeur; car c'est la vie pour ceux qui les trouvent, c'est la santé pour tout leur corps. Garde ton coeur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie. Écarte de ta bouche la fausseté, Éloigne de tes lèvres les détours.

Que tes yeux regardent en face, et que tes paupières se dirigent devant toi. Considère le chemin par où tu passes,et que toutes tes voies soient bien réglées; n'incline ni à droite ni à gauche, et détourne ton pied du mal.

 

AIMEZ-VOUS LES UNS  LES AUTRES

PAIX A VOS ÂMES

4 novembre 2011

Écoutez bien ceci!

Aux portes, dans la ville, elle fait entendre ses paroles:

Jusques à quand, stupides, aimerez-vous la stupidité?

Jusques à quand les moqueurs se plairont-ils à la moquerie, et les insensés hïrontils la science?

Tournez-vous pour écouter mes réprimandes!

Voici, je répandrai sur vous mon esprit, je vous ferai connaître mes paroles....

Puisque j'appelle et que vous résistez,

Puisque j'étends ma main et que personne n'y prend garde,

Puisque vous rejetez tous mes conseils,

Et que vous n'aimez pas mes réprimandes,n

Moi aussi, je rirai quand vous serez dans le malheur,

Je me moquerai quand la terreur vous saisira,

Quand la terreur vous saisira comme une tempête,

Et qu le malheur vous enveloppera comme un tourbillon,

Quand la détresse et l'angoisse fondrons sur vous,

Alors ils m'appelleront, et je ne répondrai pas;

Ils me chercheront, et ils ne me trouveront pas.

Parce qu'ils ont haï la science,

Et qu'ils n'ont pas choisi la crainte de l'Eternel,

Parce qu'ils n'ont point aimé mes conseils,

Et qu'ils ont dédaigné toutes mes réprimandes,

Ils se nourriront du fruit de leur voie,

Et ils se rassasieront de leurs propres conseils,

Car la résistance des stupides les tues,

Et la sécurité des insensés les perds;

Mais celui qui m'écoute reposera avec assurance,

Il vivra tranquille et sans craindre aucun mal.

 

Mon fils, si tu reçois mes paroles,

Et si tu gardes avec toi mes préceptes,

Si tu rends ton oreille attentive à la sagesse,

Et si tu inclines ton coeur à l'intelligence;

Oui, si tu appelles la sagesse,

Et si tu élèves ta voix vers l'intelligence,

Si tu la cherches comme l'argent,

Si tu la poursuis comme un trésor,

Alors tu comprendras la crainte de l'Eternel,

Et tu trouveras la connaissance de Dieu.

Car l'Eternel donne la sagesse;

De sa bouche sortent la connaissance et l'intelligence;

Il tient en réserve le salut pour les hommes droits,

Un bouclier pour ceux qui marchent dans l'intégrité,

En protègeant les sentiers de la justice et en gardant la voie de ses fidèles.

Alors tu comprendras la justice, l'équité,

La droiture, toutes les routes qui mènent au bien.

Car la sagesse viendra dans ton coeur,

Et la connaissance fera les délices de ton âme;

La réflexion veillera sur toi,

L'intelligence te gardera,

Pour te délivrer de la voie du mal,

De l'homme qui tient des discours pervers,

De ceux qui abandonnent les sentiers de la droiture afin de marcher dans des chemins ténébreux,

Qui trouvent de la jouissance à faire le mal,

Qui mettent leur plaisir dans la perversité,

Qui suivent des sentiers détournés, et qui prennent des routes tortueuses;

Pour te délivrer de la femme étrangère,

De l'étrangère qui emploie des paroles doucereuses,

Qui abandonne l'ami de sa jeunesse,

Et qui oublie l'alliance de son Dieu;

Car sa maison penche vers la mort, et sa route mène chez les morts:

Aucun de ceux qui vont à elle ne revient, et ne retrouve les sentiers de la vie.

Tu marcheras ainsi dans la voie des gens de bien, tu garderas les sentiers des justes.

Car les hommes droits habiteront le pays, les hommes intègres y resteront;

Mais les méchants seront retranchés du pays, les infidèles en seront arrachés.

Mon fils, n'oublie pas mes enseignements, et que ton coeur garde mes préceptes; car ils prolongeront les jours et les années de ta vie, et ils augmenteront ta paix.

Que la bonté et la fidélité ne t'abandonnent pas; lie-les à ton cou, écris-les sur la table de ton coeur. Tu acquerras ainsi de la grâce et une raison saine, aux yeux de Dieu et des hommes.

Confie-toi en l'Eternel de tout ton coeur, et ne t'appuie pas sur ta sagesse; reconnais-le dans toutes tes voies, et il aplanira tes sentiers. Ne sois point sage à tes propres yeux, crains l'Eternel, et détourne-toi du mal: ce sera la santé pour tes muscles, et un rafraîchissement pour tes os.

Honore l'Eternel avec tes biens, et avec les prémices de tout ton revenu: Alors tes greniers serons remplis d'abandance, et tes cuves regorgeront de moût.

Mon fils, ne méprise pas la correction de l'Eternel, et ne t'éffraie point de ses châtiements;car l'Eternel châtie celui qu'il aime, comme un père l'enfant qu'il chérit.

Heureux l'homme qui a trouvé la sagesse, et l'homme qui possède l'intelligence! Car le gain qu'elle procure est préférable à celui de l'argent, et le profit qu'on en tire vaux mieux que l'or; elle est plus précieuse que les perles, elle a plus de valeur que tous les objets de prix. Dans sa droite est une longue vie; dans sa gauche, la la richesse et la gloire.

Ses voies sont des voies agréables, et tous ses sentiers sont paisibles. Elle est un arbre de vie pour ceux qui la saisissent, et ceux qui le possèdent sont heureux. C'est par l'intelligence qu'il a affermi les cieux; c'est par la science que les abîmes se sont ouverts, et que les nuages distillent la rosée.

Mon fils, que ces enseignements ne s'éloigneent pas de tes yeux, garde la sagesse et la réflexion: elles seront la vie de ton âme, et l'ornement de ton cou. Alors tu marcheras avec assurance dans ton chemin, et ton pied ne heurtera pas.Si tu te couche, tu seras sans crainte; et quand tu seras couché, ton sommeil sera doux. Ne redoute pas ni une terreur soudaine, ni une attaque de la part des méchants;

Car l'Eternel sera ton assurance, et il préservera ton pied de toute embûche.Ne refuse pas un bienfait à celui qui y a droit, quand tu as le povoir de l'accorder. Ne dit pas à ton prochain: va et reviens, demain je te donnerai! quand tu as de quoi donner.

Ne médite pas le mal contre ton prochain, lorsqu'il demeure tranquillement près de toi. Ne conteste pas sans motif avec quelqu'un, lorsqu'il ne ta point fait de mal. Ne porte pas envie à l'homme violent, et ne choisis aucune de ses voies. Car l'Eternel a en horreur les hommes pervers, mais il est un ami pour les hommes droits;

La malédiction de l'Eternel est dans la maison des méchants, mais il bénit la maison des justes; il se moque des moqueurs, mais il fait grâce aux humbles; les sages hériteront la gloire, mais les insensés ont la honte en partage.

 

QUE LA PAIX SOIT AVEC VOUS, JE VOUS BÉNIS.

AMEN

 

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Méssages de la vie
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